Les assassins sont à la mode, et Jon Sprunk, pour son premier livre, entre dans la brèche ouverte par Robin Hobb ou Brent weeks. Il crée un nouveau héros, Caim, qui n'est pas sans faire penser au héros de Steven Brust (à venir dans un prochain post), plein de noirceur mais qui ne peut s'empêcher de remettre ne question son fonctionnement et son métier.
Ainsi, dès l'ouverture de l'aventure, on comprend qu'il se persuade que ses cibles méritent leur sort. On comprend également que son pouvoir d'invisibilité (bien pratique pour être assassin), cache quelque chose.
Résumé:
Dans la ville sainte d'Othir, traîtrise et corruption rôdent à tous les coins de rue. L'endroit rêvé pour un assassin dénué de scrupules et sans allégeance. Caim gagne sa vie à la pointe de l'épée, jusqu'au jour où un contrat le projette en pleine machination. Confronté à des hommes de loi véreux, à des tueurs rivaux et à la sorcellerie venue de l'Au-delà, il peut compter sur Joséphine, la fille de sa dernière victime, et sur Kit, un fantôme qui lui veut du bien. Caim ne se fie qu'à ses couteaux, mais pour déjouer cette conspiration qui prend sa source au coeur de l'empire, il doit s'approprier son héritage, celui du Fils de l'Ombre.
Un livre très prenant même s'il est trop court et un régal à offrir ou à s'offrir sans regrets.
Le fils de l'ombre est disponible:
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